Témoignages
Vous êtes fumeurs, ex-fumeurs, futurs ex-fumeurs, proches de fumeurs… votre histoire nous intéresse ! Racontez-nous vos craintes, vos victoires, vos fiertés ou vos difficultés. Votre témoignage est précieux pour tous ceux qui arrêtent de fumer, alors merci à vous.
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Bonjour j ai arrêté de fumer il y a 8 jours au début
C était facile plus les jours passent et plus c'est dur mais je tiendrais j ai fait le plus dur dire non à la cigaretteIsabelle, 43 ans
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Voilà près de 3 semaines que j’ai arrêtée la cigarette suite à une belle bronchite. Au début j’ai mis des pachts a 14 mg . L’horreur ! En manque pendant une semaine . J’ai pas craqué ! J’ai mis du 21 mg et c’est bcp mieux ! Je vapote de temps en temps ! 8 mg ! En fait c’est le geste ! Comment s’arreter Pour de bon ?
Marie, 65 ans
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Troisième jour sans cigarettes. J'étais à environ 12 par jour, c'est pas évident, surtout la matinée pour ma part je n'ai jamais été une fumeuse du soir sauf le piège en soirée où un paquet part sans problème, sans qu'on s'en aperçoive en somme...J'ai téléchargé toutes les applis possibles, je regarde des vidéos et je lis vos témoignages ce qui me motive énormément, je partage mon avancée avec mes amis, dont une qui m'a dit un truc très vrai "il n'y a jamais de meilleur moment pour arrêter", j'ai décidé de ne plus attendre et d'arrêter comme ça, sans me fixer de date en particulier, en suivant son exemple, ça fait deux ans maintenant qu'elle ne fume plus et je suis très fière d'elle. Toujours la peur de craquer et de me (la/les) décevoir mais je pense que je suis capable de tenir bon. Je vois déjà des changements sur mon état physique, jolie peau, meilleure respiration,energie, sentiment de fierté quand même par contre j'ai un sommeil difficile et j'ai l'impression d'être une pile électrique, je fais absolument tout pour rester occupée et quand j'ai une faiblesse je reviens ici. Merci beaucoup de partager vos expériences, ça aide vraiment.
Ju, 32 ans
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En novembre dernier, j'ai assisté à un AVC de ma grand-mère, que j'ai diagnostiqué après 10 minutes de modification de son comportement usuel.
J'ai agi, j'ai fait ce qu'il fallait faire. Mais envoyer sa grand-mère de 90 ans à l'hôpital et la voir partir sans certitude de retour, et alors qu'elle ne s'était aperçue de rien, c'est pas hyper facile psychologiquement. Bref, elle va très bien aujourd'hui mais cet événement est déclencheur.
Suite à ça, j'ai pris conscience des dangers du tabac car ma famille est soumise à une hypertension artérielle chez à peu près tout le monde.
Je suis le seul fumeur, et je montre des signes d'hypertension. Chemin faisant dans mon cerveau, j'ai décidé d'arrêter par peur sur ma santé.
A préciser : j'avais déjà arrêté un an, voici 10 ans, comme ça sur un coup de tête.
Depuis que j'ai repris, je fume peu (je me cantonne à 3 cigarettes par jour).
Ma motivation repose donc sur la peur de l'AVC surtout -car j'ai vu ce que c'était. Et peur d'autres maladies.
J'ai pris conscience, courant janvier, que le tabac me dégoûtait. Je n'arrivais plus à fumer une clope en entier. Je culpabilisais de fumer parce que j'infligeais un truc pas cool du tout à mon corps. Par prévention, et car il sait que je suis sensible à ça, mon médecin m'avait expliqué grossièrement la méthode de développement du cancer du poumon. A chaque fois que je fumais, je voyais donc les micro-lésions empirer, tenter de se réparer, pour finalement finir en cancer.
Rapidement, je suis passé à deux, puis à une par jour. Le processus a duré tout le mois de février, où je culpabiliais.
Comme je suis un spécialiste de la somatisation, mon corps a commencé à me faire croire que je faisais des crises cardiaques (j'ai consulté en urgence). Mais mon corps somatisait. c'est tout. Et c'est pas agréable.
Pendant cette période, est sortie une étude scientifique qui déclamait que fumer une cigarette revenait à en fumer 10. En gros, avec mes deux clopes par jour, je fume l'équivalent d'un paquet. ca m'a fait cogiter, et beaucoup cogiter.
Voilà 10 jours, j'ai décidé d'arrêté comme ça. Pour me faire du bien et me sentir libre.
Je me sens libre depuis, je me sens bien, je respire carrément mieux. Mais mon corps continue à somatiser des épisodes cardiaques.
D'où mon interrogation : la motivation pour l'arrêt n'est pas une réelle motivation (du genre il faut que j'atteigne ce but) mais une peur de quelque chose. En gros, cette motivation à mon sens est reliée à une prise de conscience.
Elle arrive au moment d'un éléctrochoc et j'ai l'impression que c'est quelque chose de régulier dans les témoignages que je lis.
On parle de motivation d'arrêt, mais pour moi c'est plutôt une peur de quelque chose que de motivation.
Depuis mon arrêt, le tabac ne me manque pas trop. Je ne vais pas mentir : il m'a manqué hier mais j'ai lutté (et sans plus) : c'est hors de question que j'inflige cette merde à mon corps. Aujourd'hui, il m'a manqué mais j'ai posé mes deux paquets plein dans un coin. En avoir dans un coin, je sais que ça aide.
J'ai néanmoins peur d'avoir développé des maladies (depuis que j'ai arrêté, j'ai peur d'avoir de l'hypertension donc je la contrôle 5 fois par jour, donc j'en ai forcément. Depuis que j'ai arrêté, j'ai mal aux poumons, je me réveille en pleine nuit en croyant faire des crises cardiaques).
Je vais voir mon médecin vendredi pour me rassurer et pour qu'il me motive dans cette décision. Mais pour me rassurer sur mon état de santé en priorité.
Je me demande du coup si, dans une mesure de prévention, la mise en contact avec des malades, ne serait pas une bonne chose.Florent, 34 ans
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J ai arrêté de fumer il y a 3 semaines, je ne suis pas encore tout à fait sortie de l auberge mais ça commence à sentir bon :)
J ai arrêté parce que ça faisait longtemps que j y songeais, parce que j ai eu la grippe, parce que j ai du faire une radio des poumons parce que mon médecin suspectait une pneumonie, parce que mes enfants me demandaient d arrêter... mais surtout parce que ai compris que fumer n est pas un besoin. Que fumer ne m apporte absolument rien de positif.. que la LIBERTÉ c est pas fumer, c est de ne plus avoir besoin de dépenser son argent au tabac du coin, de ne plus avoir besoin de penser à elle... au bout de 20 ans j ai compris... je regrette d avoir perdu tout ce temps... mais mieux vaut tard que jamais, donc je suis quand même de ces semaines sans tabac, sans culpabilité, sans mauvaise odeur et avec davantage d argent pour mes loisirs! Ça ne me manque pas de fumer, même si j y pense souvent, ce n est pas du tout horrible... C est juste des pensées fugaces... qui vont et viennent mais en douceur... courage à ceux qui souhaitent arrêter, vous en êtes capables!!Céline , 38 ans
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ça y'est je me suis décidée, je me suis motivée, je me suis préparée. J'arrête de fumer!!!!!
1er jours sans tabac.... Dur dur surtout quand on a des mauvaises habitudes 1 avec le café, 1 en partant au boulot, 1 en arrivant au boulot avec le café, 1 après mangé, 1 parce qu'on s'ennuie..... et à la fin de la journée bah on a fumé son paquet entier!!!!!
Mais aujourd'hui c'est fini!!!!Lydie, 33 ans
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