Témoignages

Bonjour à tous et toutes, j’ai commencé la cigarette à 18 ans et après plusieurs tentatives d’arrêt j’ai constaté qu’il fallait un effort important pendant les 3 premières semaines d’arrêt car les symptômes sont difficiles à supporter sans motivation valable. J’ai décidé d’arrêter de fumer pour prendre soin premièrement de ma santé physique et mentale mais aussi de la santé de mes proches et surtout de ma santé financière. Je tiens le coup après un mois et demi de prise de Varénicline qui est maintenant disponible en pharmacie et toujours remboursé sur ordonnance du médecin. Cela fait une dizaine de jours que j’ai arrêté le traitement et je suis toujours motivée. Il n’existe pas d’échec dans l’arrêt du tabac car chaque arrêt est un pas qui nous mène de l’avant jusqu’à l’arrêt définitif de ce poison. Bienvenue dans cette prise de conscience qu’est Stop à toute forme d’addiction. Chaque pas nous transporte vers la victoire ❤️ Courage ?

Il ne suffit que d'un instant pour ruiner les efforts d'une vie !

Bonjour à toutes et à tous, j en suis environ à mon vingtième arrêt en 8 ans. J ai reussi à faire des arrêts, allant de quelques jours, 3 mois à 1 an et demi et je me demande comment je vais tenir jusqu'au statut corporel et psychologique de non fumeur, après un arrêt de '10-15 ans' et plus?

Comme je galère beaucoup plus cette fois-ci comparée aux arrets passés, je souhaite sincèrement que cet arrêt soit le dernier !

On m' a dit que le plus dur ce n’ est pas d’ arreter mais de continuer à arreter sur le long terme, d'accepter l idée de ne plus jamais fumer !

A voir l état dans lequel je suis maintenant, je ne veux plus jamais avoir à traverser cette période où je n arrive pas à me concentrer, je suis stressée et anxieuse, déprimée et à fleur de peau où je ne me reconnais pas vraiment.... Je sais que cet état va être remplacé par la satisfaction de reprendre le contrôle sur ma vie, la joie de jouir pleinement de mon temps et de mon argent et de récupérer peu à peu l’ espérance de vie perdue !

Alors, je souhaite me rappeler de ce moment lors d instants de faiblesse et de fragilité où je me dirais qu’ une ce n est pas grave ou que c est trop dure alors j'arrêterai ́une prochaine fois...

La culpabilité de craquer et toutes ces difficultés à retraverser ne voudront jamais la satisfaction de lutter contre une adduction !

Solidairement

Je n’ai jamais été une grosse consommatrice de tabac. Mais depuis environ un an, certains collègues de travail avaient la gentillesse de m’offrir une cigarette de temps en temps. Au départ, je ne voyais pas le mal, ça restait occasionnel.
Avec le temps, j’ai pris du recul. Quand je vois les dégâts que le tabac peut faire autour de moi, je me dis que ça n’en vaut vraiment pas la peine. J’ai donc dit à mes collègues de ne plus me proposer, car je voulais arrêter pour de bon.
Mon copain fume encore un peu, mais je choisis de ne pas être présente quand il fume. Ce n’est pas toujours facile, mais mes motivations sont claires : je veux préserver ma santé, et je suis convaincue qu’on peut bien vieillir en prenant soin de soi.
Aujourd’hui, je suis fière de mon choix et je me sens déjà mieux dans ma tête et dans mon corps.

Maria, mère de famille dévouée, trouvait dans la cigarette un moment d’évasion, un fragile instant de calme entre les obligations et le chaos de la maison. Chaque soir, après avoir couché ses enfants, elle s’asseyait sur le balcon, allumait une cigarette et laissait la fumée s’élever dans la nuit.

Mais cette cigarette était sournoise. Pour chaque bouffée, Maria ne brûlait pas seulement le tabac, elle brûlait silencieusement des morceaux de son énergie, des traces invisibles de sa santé, des instants de vie précieux. La flamme fragile consumait doucement non seulement la cigarette, mais aussi sa force de mère, de compagne, d’âme vivante.

Au début, elle ne le voyait pas. Elle pensait pouvoir gérer, tenir bon, continuer. Mais ses nuits devinrent plus courtes, ses douleurs plus fréquentes, ses sourires plus rares. La cigarette lui volait des heures, des jours, une part d’elle-même.

Un soir d’hiver, alors que le vent glaçait l’air, Maria regarda la dernière cigarette qu’elle allumait. La flamme vacilla un instant, puis s’éteignit. Et avec ce souffle, elle sentit le poids immense de toute une vie consumée dans cette fumée fugace.

Elle réalisa trop tard que chaque cigarette avait été un pas vers l’épuisement final, une lente extinction qui aurait pu être évitée. Dans un souffle presque inaudible, elle comprit que sa véritable force résidait dans l’arrêt, dans le choix de préserver les instants avec ses enfants, dans la renaissance au-delà de la fumée

Dans une ville en éternelle pénombre, vivait Thomas, un fumeur invétéré. Chaque soir, il s’allumait une cigarette comme pour allumer une lumière dans sa vie qui lui semblait s’éteindre peu à peu. Il aimait observer la flamme vacillante, hypnotisé par cette danse fragile.

Mais cette cigarette était différente. Au lieu de simplement brûler le tabac, elle brûlait le temps lui-même. À chaque bouffée, Thomas sentait que des fragments de son existence s’envolaient avec la fumée.

Au fil des jours, il remarqua que ses souvenirs devenaient flous, que ses forces diminuaient, mais il pensait maîtriser cette flamme. Pourtant, il ne voyait pas que la cigarette dessinait une trajectoire implacable : plus la cigarette se consumait, plus sa vie s’effilochait.

Un soir, le vent souffla brutalement, et la flamme de la cigarette s’éteignit brusquement. Dans ce souffle silencieux, Thomas comprit que c’était la fin. Il sentit son corps se vidait d’une énergie qu’il ne pouvait plus retenir.

Il tenta de se relever, de reprendre le souffle, mais il ne restait plus rien : l’ombre d’un homme consumé par des milliers de petites flammes éteintes, chacune une cigarette, chacune une minute de vie envolée.

Trop tard, il avait laissé la cigarette consumer sa vie, comme une mèche lente qui mène inévitablement à l’obscurité.

Bonjour j'ai arrêté de fumer depuis maintenant bientôt une semaine j'utilise des patch nicotine avec effet 24h et des bonbons a la nicotine pour m'aider dans mon sevrage je subit quelques effets secondaires depuis mon arrêt comme des difficultés a m'endormir avec un sommeil agité et récemment des nausées et de la déprime et je dois dire que je ne rescent aucun soutien de mon entourage j'espère ne pas craqué un jour mais pour l'instant je tiens bon et c'est devenu une satisfaction personnelle de penser que petit a petit je me détache de ce poisson