Témoignages

Vous êtes fumeurs, ex-fumeurs, futurs ex-fumeurs, proches de fumeurs… votre histoire nous intéresse ! Racontez-nous vos craintes, vos victoires, vos fiertés ou vos difficultés. Votre témoignage est précieux pour tous ceux qui arrêtent de fumer, alors merci à vous.

  • Je fume encore un peu mais le questionnaire du site tabac info service m'a fait prendre conscience de pourquoi je fumais...je le savais mais répondre au questionnaire a fait comme un déclic. J'ai diminué à 80% ma consommation et je mets en place des choses pour gérer les moments de manque....comme sortir marcher 15 mn et ça marche plutôt bien.

    Arièle, 49 ans

  • J'ai relevé de défi : profiter du mois sans tabac pour arrêter. Je suis allée consultée une hypnothérapeute la veille de mon sevrage et je pense que le résultat a été concluant. Je peux également dire que les supports fournis, le soutien de mon entourage, de mes collègues m'ont beaucoup aidé. A ce jour, je n'ai pas retouché une cigarette et je gère plutôt bien mon abstinence.

    Valérie, 54 ans

  • Merci, merci 1000 fois.,
    EX fumeur, je ne sais pas si je peu prétendre a ce titre, mais en tout les cas je n'ai pas fumé depuis 31 jours. Et je peu dire que je suis assez fière de moi. J,ai suivis vos conseil et donc me suis préparé a l’arrêt de la cigarette. étape très, très importante.
    La date aussi me semble t'il a son importance. mes différentes tentatives on toutes échoues, dates mal choisis. plusieurs années de suite , j'ai essaye d’arrêter le 31 descendre , très, très mauvaise date , enfin d’après moi. voila en tout cas de nouveau merci , j'ai porté ma broche pendant un mois, j'en était fiers . j.ai déjà repris du poids et mis un peu d'argent de cote
    A oui j'ai fumé pendant plus de 45 ans tabacs a rouler, alors si moi j'ai pu, tout le monde peu. voila , amicalement

    Raymond, 60 ans

  • Bonjour à tous !
    Voilà... je commence mon deuxième jour sans cigarette...je fume depuis 28 ans.... Quand j’y réfléchis.... le comble est que j’ai commencé à fumer quand mon grand-père est mort d’un cancer du poumon. Comme si je cherchais à lui rester fidèle, à reprendre le flambeau. J’ai 3 enfants, et même leur naissance, même leurs encouragements... rien n’y a fait jusque là. J’avais, ou j’ai encore, le sentiment que sans cigarette je ne suis pas moi-même, je ne suis pas cette fille que j’ai toujours été, enjouée, festive, rigolote... C’est comme si je devais laisser partir une partie de moi. Et pourtant je comprends, que je ne suis pas la cigarette. Ça ne me définis pas. Ou plus.
    Alors aujourd’hui je suis triste, je me sens déprimée, de devoir accepter ce changement, cette perte d’une part de moi. Mais je suis aussi fière, et heureuse de partir à la rencontre de cette nouvelle personne...
    Tenir bon, tenir bon, tenir bon. Pour moi. Pour mes enfants. Pour être heureuse sans.

    Candice, 40 ans

  • Bonjour a tous et bravo pour votre courage ,moi je fumer depuis 30ans , 1paquet par jour arrêter juste pendant mes 2 grossesses mes vite repris des que bb était là, jai arrêter depuis 15jours jai pris la cigarette électronique la nicotine et doser a 0,08mg je ces que ces pas très bien mes je me dit que jai pas tout les produit chimique qui a dans une cigarette et mentalement jai pas le manque avec sa , voilà soyons fort .

    Kat, 45 ans

  • J'ai commencé a fumer à 13 ans. J'en ai 38. 25 ans de cigarettes. Voilà plus d'un an maintenant que j'ai arrêté de fumer. Plusieurs tentatives, plusieurs échecs qui m'ont progressivement menés sur la voie de la réussite. La première leçon fut de comprendre qu'il est impossible de s'arrêter sans une aide extérieure. Nous nous construisons tous au fil des ans dans une dépendance physique a la nicotine. Pour ma part j'ai grandi avec cette substance. Elle coulait depuis si longtemps dans mes veines. Elle faisait partie de moi, contrôlait mon humeur, mes réactions. Il était évident que j'avais besoin de substituts pour m'en défaire. Les pastilles a sucer furent une révélation. Une fois la dépendance physique levée (très rapidement), il ne restait qu'à me défaire de cette dépendance physique. La prise de substituts m'a permis d'éliminer la sensation de manque. Progressivement les bénéfices de l'arrêt se sont fait sentir (respiration, forme physique, peau, argent) me confortant dans ma volonté de persévérer. Une sensation de liberté réconfortante. J'estime que je ne suis pas sortie d'affaires, je serai toujours un ancien fumeur. Parfois, de plus en plus rarement heureusement, l'envie de fumer se fait ressentir. Mais je n'y cède pas car je sais a quel point cela n'en vaut pas la peine. J'essaye de conseiller ceux qui veulent arrêter de fumer en leur disant qu'il n'y a jamais de demi mesure dans l'arrêt du tabac. Il faut arrêter définitivement, jusqu'à la fin de sa vie. Tout autre dialogue, tout autre négociation avec soi même est le reflet d'une dépendance, d'une addiction dont on arrive pas a se défaire. Comme si une petite voix diabolique essayait de trouver sans cesse des compromis, quelques excuses, exceptions : "tu as le droit aux apéros, avec les amis, seulementen soirée", "tu as le droit de temps en temps". Non! C'est fini mon gars. Assume le. C'est definif ! Pas de compromis lorsqu'on est un drogué. L'alcoolique doit cesser définitivement l'alcool pour s'en sortir. Le fumeur aussi! On est tous capable d'y arriver, même après 25 ans. Alors toi aussi! Dis toi seulement que les bénéfices valent mille fois le faux plaisir qu'est celui de fumer. Et n'oublie pas que l'ensemble de tes réactions sont régies par ta dépendance a cette substance qu'est la nicotine. Allez ! Courage ! Je sais que tu y arriveras !

    Bertrand, 38 ans

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