Témoignages

Vous êtes fumeurs, ex-fumeurs, futurs ex-fumeurs, proches de fumeurs… votre histoire nous intéresse ! Racontez-nous vos craintes, vos victoires, vos fiertés ou vos difficultés. Votre témoignage est précieux pour tous ceux qui arrêtent de fumer, alors merci à vous.

  • Voici comment j’ai réussi à m’arrêter de fumer
    Je fumais du tabac à rouler Samson ou Drum, parfois des Camel filtre de 12 à 20 cigarettes par jour que je roulais dans du papier Job, j’avais commencer à 16 ans pour m’arrêter à 28 ans soit 12 ans d’addiction, d’esclavage, d’intoxication.
    Je fumais aussi des joint de marihuana, de l’huile, j’ai pris du LSD.
    J’ai réussi à me défaire de ces drogues grâce à un livre du Dr Claude Olievenstein Il n’y pas de drogués heureux et un jour je suis parti à 400 km de mes amis drogué, pour travailler c’est là à Villard de Lans à 18 ans que j’ai arrêter cette maudite drogue.

    Le tabac est un véritable fléau, il tue 78 000 morts chaque année en France, c’est la deuxième cause de mortalité dans le Monde, c’est assez facile de commencer mais pour s’arrêter il faut beaucoup de volonté et déterminisme.
    Je ne me suis pas arrêter un 1ier Janvier lord de la prise des bonnes résolution non non, j’avais essayer de m’arrêter net vers 20 ans mais j’avais repris aussitôt, c’est comme si je me trouvais devant une montagne infranchissable ( l’Everest à 8 848 mètre).
    Un jour que je travaillais en Norvège à Oslo de 1988 à 1992, je m’étais dit : De toute façon je m’arrêterais, que ça prenne 1 ans ou 3, j’arrêterai ce maudit tabac, je toussais maintenant tous les jours que Dieu fait.

    Ma méthode :
    J’avais un revue « Fondamental » sur les méfias du tabac, elle montrait des photos de poumons détruit par ce maudit tabac et des poumons Saint, j’avais acheter un grand calendrier, un feutre noir, un étuis à cigarettes en métal, chaque jour je remplissais cette boite de 20 cigarettes roulé sans filtre et en fin de journée j’inscrivais la quantité consommer sur le calendrier, en haut j’avais inscrit Objectif, Zéro Cigarettes.
    Au fur et à mesure je renonçais à en fumer une, j’en suis arriver à diminuer progressivement ma consommation , petit à petit je ne fumais plus que 5 cigarettes par semaine voir 3 à la place des 18 à
    20 par jour.
    Et puis un jour j’ai dû aller chercher mon billet d’avion pour rentrer dans mon pays, la France, une date à été choisi, le 17 mai 1992, je me suis dit : « c’est cette date qui marquera l’arrêt définitif du tabac », j’ai pour ainsi dire tourner la page de tous ses années enfumé, lorsque l’avion à décoller je savais que je m’envolais vers une nouvelle liberté sans tabac, un nouveau départ.

    Aujourd’hui en 2018, cela fait 26 ans que j’ai arrêter ce maudit tabac, chaque 17 Mai est une date anniversaire une DATE DE VICTOIRE, MA VICTOIRE.
    Je n’ai JAMAIS refumer ne serais ce qu’une seule cigarette, je l’ai en d’égout, je ne supporte plus sont odeur, sa fumée, je n’en suis plus esclave, je me suis affranchis de ce poison, je peux dire que je suis réellement LIBRE du tabac, quand aux occasions favorable, elle sont toutes rester sans effet, puisque je le déteste, je l’ai en dégoût, c’est une odeur qui annonce la mort à petit feu, elle se prend dans les habits fait des trous, ça sent mauvais, elle rend esclave, malade et pour finir elle tue, elle assassine ses victimes, on en voit même certain partir en fumée !!!!

    Les effet bénéfique de cette Victoire :
    Je ne tousse plus, en 2002 j’ai fais le Bol d’Air Jacquier dans le salon bio à Eurexpo et à la Croix Rousse à Lyon.
    Mes habits sentent bon.
    Mes doigts ne sont plus jaune.
    Je n’ai pas grossi.
    Mon porte monnaie est à la hausse.
    10 ans après mes poumons on retrouver leur éclat.
    Je ne suis plus esclave.
    Je suis LIBRE.
    C’est ma fierté, ma VICTOIRE je l’ai vaincu, ce n’étais pas facile mais j’ai enfin réussi.

    Gilles, 54 ans

  • vendredi 4 novembre 2016, je fume une cigarette avec une collègue et finis mon paquet.
    Je lui dis "c'est ma dernière clope, j'arrête"
    Elle rigole et ne me crois pas.

    Je ne le dis à personne même pas à mon mari.
    Il le découvrira le lendemain lors d'une soirée entre amis où je ne sors pas pour m'en griller une. Mes enfants aussi vont s'en rendre compte sans que je leur dise quoi que ce soit.

    Je n'ai pris aucun produit de substitution. Pas de cigarette électronique, pas de patch, pas de gomme. J'avais l'impression que si je faisais ça je me mentais. Je devais arrêter complètement.

    J'ai été INSUPPORTABLE pendant 2 mois. Depuis je ne me souviens plus avoir fumé un jour, j'ai l'impression que je n'ai jamais touché une cigarette de ma vie. Je fumais 15/20 cigarettes par jour.

    C'est à n'y rien comprendre. Je n'y pense plus même quand je suis entourée de fumeurs.

    Alors il faut tenir bon cette saloperie a quitté ma vie (en tout cas je l'espère)

    Laurence", 52 ans

  • Bonjour à tous, je souhaite encourager tous ceux qui souhaitent arrêter à ne pas attendre une "occasion". Dès que vous en avez envie, c'est que vous en êtes capables. C'est la 2ème et dernière fois que j'arrête la cigarette, cela fait maintenant 7 mois. La première fois j'ai tenu 5 mois puis j'ai craqué en pensant que je pouvais me permettre la cigarette occasionnelle autour d'un verre, comme certains de mes proches; mais la dépendance s'est sournoisement réinvitée dans ma vie après plusieurs mois où je recommencais à fumer régulièrement. J'ai donc arrêté de nouveau et je ne m'autorise aucun écart. Je le vis très bien et je suis fière de moi, ces sentiments sont si rares quand on fume depuis plusieurs années! Le plus dur pour moi aujourd'hui c'est toujours d'être autour de fumeurs quand je bois un verre, mais je compte sur ma volonté et sur l'augmentation du prix des paquets pour que mes proches arrêtent aussi de fumer. C'est bien la tendance que je vois se dessiner autour de moi et j'en suis ravie. Bref, courage à vous tous, tout le monde peut y arriver!

    Cécilia, 23 ans

  • En l’an 2000 à l’age de 50 ans, j’ai du subir une intervention chirurgicale bénigne qui me maintenait donc en chambre quelques jours. Je fumais depuis 30 ans, et j’étais arrivé à une consommation qui était devenue gênante (un à 2 paquets par jour). J’avais essayé maintes fois de m’arrêter, cela durait une semaine ou plus (jusqu’à un mois), content quand même de savoir que j’arrivais à m’arrêter, sentiment idiot qui déculpabilise la rechute : puisqu’on est capable de s’arrêter on peut reprendre.
    Pendant cette immobilisation à la clinique je n’ai bien sûr pas fumé dans ma chambre. Le 3eme jour, au matin je pouvais marcher, je suis allé en « griller une » dans le parc. En fait j’ai juste « tirré » une bouffée. Comme d’habitude la « première » du matin provoque un petit pic de nicotine que l’on ressent dans le cerveau, ce matin là je l’ai ressenti très nettement. La nicotine a certainement eut plus d’effet que d’habitude à cause de mon sevrage complet de 3 jours. J’ai été émotionnellement « choqué » de me rendre compte combien j’étais intoxiqué. J’ai immédiatement éteint ma cigarette et suis rentré dans ma chambre. Le lendemain je me suis rendu compte combien je respirait bien. Je n’ai pas repris la cigarette pendant l’hospitalisation et en sortant j’avais encore plus l’impression de beaucoup mieux respirer. Il faut que m’arrête définitivement, c’est trop bon.... C’est décidé, et ce sera définitif, j’en était sûr. Enfin ne raison positive de s’arrêter. La raison médicale telle qu’elle est utilisé dans les spots télé ou en image sur les paquets me semble contre productive.. Au mot cancer on se referme, on ne veux pas entendre, on n’entends pas.
    La première semaine bien sûr, j’avais envie de fumer mais je résistais. La première semaine a prés le retour à la maison a été difficile. Un petit défi ma aidé : je n’ai pas dit à ma famille que j’avais arrêté, je voulais qu ‘ils s’en apercoivent. La deuxième semaine j’ai eu l’impression de ne plus avoir besoin de nicotine. Je faisais cependant souvent une amorce de geste avec la main vers la poche ou aurait du se trouver un paquet . Paquet qui fut vite remplacé par des bombons à l’anis. C’est vrai j’ai abusé des bombons (petit conseil : l’anis est un mauvais choix, les gens pensent que vous êtes intoxiqués au pastis !) Quelle victoire quand je me suis aperçu, quelques semaines après, que la présence de fumeur ne me donnais pas envie. Il m’a quand même fallu 1 ou 2 ans pour modérer ma consommation de bonbons. J’ai 67 ans et je n’ai jamais repris, cela étais inconcevable. Je suis trèsfier que la fumée des autres me gène, cela prouve que j’ai réussi.

    jean-françois, 67 ans

  • Je voudrais savoir comment faire pour arrêter de vapoter.
    Grosse fumeuse j'ai réussi mon sevrage mais je vapote
    encore sans nicotine aujourd'hui.Je souhaiterais cesser
    cette habitude mais je ne sais comment faire,d'autant que j'ai peur de la rechute.Je suis à 6 mois d'arrêt du tabac.
    Pouvez vous m'aider,merci et courage à tous ceux qui
    tentent de redevenir non fumeur et oui avant d'être un fumeur on est non dépendant.

    karine solé, 50 ans

  • j ai 53 ans 30 ans de tabac a rouler entre 20 et 25.
    Une bronchite et une crise d astme mon conduit au urgences jeudi soir , depuis je suis toujours hospitalisée Jai éssayée d arreter de fumer a plusieurs reprises sans grand succes il y a quelques années.
    J ai des patchs 1 de 14 et 1 de 21 car ce qu il faut savoir quand on fume des roulés le nombre est multiplié par 2 comme je fumais entre 20 et 25 ca équivaux a 40 voir 50
    la clope pour moi c est fini je m en débarrasse avant qu il ne soit trop tard
    Je sais que se ne sera pas facile 30 ans de vies communeca ne s efface pas d un coup de baguette magique

    NADEGE, 53 ans

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