Témoignages

Coucou tout le monde,et oui j' étais motivé et je le suis toujours au cas où je viendrai à craquer je ne m'en voudrais pas,çar c'est compliqué de trouver un nouveau quotidien sans le prolongement de sa main mais j'essaie de trouver l'occupation je passe mon permis,a la maison c'est diamond painting et je fais attention à ne pas sauter sur la nourriture ce qui n'est pas dans mes habitudes j'ai perdu du poids,je dors bien et prends plaisir à rester dans mon lit sans courir dehors pour combler le manque surtout vu le temps.
Les idées sont là faut il arrivé à tenir un quotidien
Ne lâchez rien on est tous dans le même bateau ⛵

Bonjour a tous je me dit une chose si on vient a craquer,ok pas de grave on y arrive la fois d'après mais honnêtement souvenons nous de la première semaine les sueurs,le stress, les angoisses d'être en manque mais il y a la respiration, le sommeil qui revient normal le fait de se réveiller sans l'envie car il n'y a plus de clopes.Ca me réconforte

Après au moins 3 essais et rechutes, je tiens bon, aujourd’hui je suis non fumeuse depuis 8 mois et 16 jours. Les rechutes sont décevantes, font perdre confiance mais apprennent à nous connaître, a comprendre notre corps et reconnaître les pièges. Ces rechutes ont été pour moi des apprentissages pour me permettre d’y arriver.
Aujourd’hui je me sens libre et fière de moi, je ne suis pas totalement guéri car parfois les envies se font sentir mais elles restent rares et surtout je sais que je suis capable d’y résister…
Ne perdez pas espoir les rechutes font parties de votre victoire.

Il ne suffit que d'un instant pour ruiner les efforts d'une vie !

Bonjour à toutes et à tous, j en suis environ à mon vingtième arrêt en 8 ans. J ai reussi à faire des arrêts, allant de quelques jours, 3 mois à 1 an et demi et je me demande comment je vais tenir jusqu'au statut corporel et psychologique de non fumeur, après un arrêt de '10-15 ans' et plus?

Comme je galère beaucoup plus cette fois-ci comparée aux arrets passés, je souhaite sincèrement que cet arrêt soit le dernier !

On m' a dit que le plus dur ce n’ est pas d’ arreter mais de continuer à arreter sur le long terme, d'accepter l idée de ne plus jamais fumer !

A voir l état dans lequel je suis maintenant, je ne veux plus jamais avoir à traverser cette période où je n arrive pas à me concentrer, je suis stressée et anxieuse, déprimée et à fleur de peau où je ne me reconnais pas vraiment.... Je sais que cet état va être remplacé par la satisfaction de reprendre le contrôle sur ma vie, la joie de jouir pleinement de mon temps et de mon argent et de récupérer peu à peu l’ espérance de vie perdue !

Alors, je souhaite me rappeler de ce moment lors d instants de faiblesse et de fragilité où je me dirais qu’ une ce n est pas grave ou que c est trop dure alors j'arrêterai ́une prochaine fois...

La culpabilité de craquer et toutes ces difficultés à retraverser ne voudront jamais la satisfaction de lutter contre une adduction !

Solidairement

J'ai fumé jusqu'à mes 23 ans, puis j'ai arrêté d'un coup à ma première tentative, brusquement, sans stratégie, sans patch ni rien, passant d'un paquet par jour à 0. Ca été douloureux une semaine, puis étonnamment facile car mon entourage ne fumait pas. Après 1 an, les envies sont revenues, pour tenir je me disais que ça allait passer en quelques secondes. J'ai tenu 10 ans avec des périodes où l'envie de fumer revenait. A mes 33 ans, après un accident de la vie, je me suis mise en couple avec un fumeur. Lors d'une soirée un peu arrosée et fun, je me croyais forte et j'ai fumé "pour m'amuser" (spoiler : c'était une idée catastrophique). Puis j'ai commencé à fumer en soirée, persuadée que je maîtrisais. Je suis rapidement remontée à un paquet par jour. J'ai arrêté 3 mois et je suis retombée pour une année, trahissant la promesse que j'avais faite à ma fille. Le choc. Ma volonté de fer de ma jeunesse, où était-elle passée ? L'urgence d'arrêter est aussi venue de mes finances, laisser plus de 330€ dans les cigarettes chaque mois voulait dire pas de vacances à la fin de l'année. J'ai arrêté de fumer en août 2024 avec un substitut qui a adouci l'arrêt (j'avais aussi réussi à descendre à 10 cigarettes). Je l'avais annoncé à mes collègues et amis quelques jours avant. Parfois, la cigarette de récompense après avoir bien bossé en sortant du bureau me manque, mais j'ai compris la leçon, désormais je serai radicale, plus jamais une seule cigarette. Je suis (de nouveau) trop fière de moi (mais plus humble), surtout quand mes collègues me disent "c'est fou t'as pas repris félicitations !".

Bonsoir, aujourd’hui j’ai 16 ans et j’ai décider d’arrêter ce qui était nocif pour mon âge, j’ai commencé il y a 4 ans, d’abord pour le fun avec des collègues pour tester, puis régulièrement en soirée, et cela se fini par retourner sa chambre histoire de trouver une fin de mégot ou un joint, j’évoque le sujet de la rechute car souvent quand on a plus personne, il nous reste la cigarette, notre remède et à la fois notre maladie. Vous vous demandez pourquoi je veux arrêter à mon âge ? Tout simplement parce que la cigarette a fait parti d’une époque très sombre où je ne faisais que m’enfoncer, je me négligeais, je passais mon temps à fumer. Maintenant que je me suis mis un coup de pied dans le derrière je fais de ma santé ma priorité, tout ce qui a été là pendant une mauvaise période reste dans le passé et la cigarette va avec. Tout ça pour vous dire que peut importe l’âge que vous avez que vous soyez ado, adulte ou même âgé il n’est jamais trop tard afin de se mettre sur un pied d’estrade et éviter toute répercussion. On est forts !