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Vous vous posez des questions sur l'arrêt, sur les traitements existants, les méthodes pour y arriver,...? Dans cette rubrique, Tabac info service répond aux questions les plus fréquemment posées et vous donne les clés pour mieux appréhender votre démarche d'arrêt du tabac.
14420 résultats pour "tabagisme passif"
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13901. Alcool et tabac - Question/Réponse
Bonjour, Je parviens à ne pas fumer du tout la semaine , grâce à des patchs mais aussi car cela ne me dit plus rien (20 années de tabagisme sans aucun arrêt, à raison de 20 à 25 cigarettes par jour), par contre je ne parviens pas à arrêter le week end, quand je suis de sortie, et notamment dès que je bois un verre d'alcool. D'ailleurs dès que je prévois une sortie, je vais acheter un paquet de cigarettes.. je me console en me disant que je fume un paquet par semaine au lieu d'un paquet par jour mais c'est assez frustrant et je ne sais pas comment dissocier alcool et nicotine...
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13902. Arrêt de la cigarette - Question/Réponse
Bonjour, Je suis entrain d’entamer une démarche pour arrêter de fumer. J’ai plusieurs raison à cela et aussi plein de questions. Les raisons sont d’ordre santé et financière. J’ai 25 ans et j’ai commencé à fumer à l’âge de 15 ans au début c’était que quelques cigarettes avec les amis. Puis arrivé au lycée et les soirées et c’était un prétexte pour fumer. Et petit à petit j’en suis devenus dépendant. Aujourd’hui ça fait 10 ans que je fume je suis à un paquet par jour voir un paquet et demi et ça peut aller jusqu’à deux paquet le week-end. J’ai déjà fais des tentatives d’arrêt mais à chaque fois je reprenais et de plus belle. Je pratique le futsal et la musculation. Comme je fais pas mal de sport 1h à 2h par jour. Je ne ressentais pas vraiment les effets du tabac je pouvais courir une heure sans être à bout de souffle. Le mois dernier je me suis blessé au niveau des ligaments de la cheville. J’ai donc arrêté toute activité et devenus assez sédentaire. Et la j’ai commencé à remarquer que je toussais beaucoup. Maintenant que je peux remarcher simplement descendre les escaliers ou les monter m’essouffle. J’ai donc été voir mon médecin pour arrêter de fumer. Il m’a prescrit des patch sur 4 mois. J’ai la volonté d’arrêter mais je ne me sens pas prêt. J’ai des craintes. J’ai peur de devenir irritable, nerveux. Je suis un ancien obèse et j’ai peur aussi de me réfugier dans la nourriture. Je me pose aussi énormément de questions comment je vais faire en soirée ou au travail. Fumer me permettait de prendre une pause au travail couper tout pendant 5 à 10 minutes. En soirée également c’était un moyen pour d’avoir une interaction sociale et des discussions autour d’une cigarette. C’est farfelu ce que je vous dis je le sais mais c’est plus fort que moi d’avoir ces pensées. Je souhaiterais avoir des conseils d’un professionnel. Car mon médecin lui n’a fais que me répéter que fumer c’était pas bon et que vouloir arrêter était déjà bien. Le substitut est une bonne choses mais comment les habitudes peuvent changer comme ça du jour au lendemain?
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13903. Inquiétude reprise d'environ 3 semaines. - Question/Réponse
Bonjour, Après 222 jours d'arrêt, dont mon conjoint et moi étions fiers. Étant deux fumeurs nous avons arrêté ensemble. Divers problèmes au travail et dans notre vie personnelle nous ont entraîné à reprendre, nous n'avons pas su empêcher l'autre, et nous avons repris ensemble, on a d'abord dit 1 parquet... Puis on a racheté du tabac à rouler (du Pueblo sans additifs). Nous fumons 5 à 6 cigarettes par jour. Je suis en ce moment en arrêt maladie à cause des tracas évoqués plus haut, je suis très tentée de fumer quand je me sens seule ou que j'ai le blues dans la journée... Le soir quand mon conjoint rentre, nous fumons 2 à 3 cigarettes ensemble jusqu'au coucher. Pourtant nous avons arrêté pour des motivationns qui sont toujours valables : une vie saine. Nous sommes jeunes, 27 et 30 ans, il est encore temps. D'autant plus que nous ne sommes pas de gros fumeurs. De plus, c'est notre premier mois d'essai, mais souhaitons concevoir un enfant. Cette motivation devrait être suffisante mais nous n'avons pas encore réglé tous nos soucis. Je ne serai prête à réarreter que dans une semaine quand nous aurons les réponses que nous attendons (solutions à nos problèmes au niveau du travail et également personnels) Mon inquiétude c'est que chaque jour qui passe où je fume est un jour de plus dans la dépendance. J'ai peur que l'arrêt dans une semaine soit très difficile bien que nécessaire. J'ai peur des conséquences sur ma santé et des répercutions sur la bonne santé de mes ovules.... Car j'étais fière d'avoir arrêté depuis si longtemps et de concevoir un enfant après tout ce temps... En prenant en compte ces inquiétudes, comment arrêter à nouveau sereinement ? Je souhaite arrêter le vendredi 19 juin. Comment m'y prendre ? Quelles habitudes reprendre ? Que faire si mon conjoint ne peut pas s'arrêter en même temps que moi ? Y a-t-il des risques pour une future grossesse à cause de cette reprise ? Je vous remercie pour l'attention que vous porterez à mes questions.
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13904. J'ai l'impression que je n'arriverai jamais à arrêter - Question/Réponse
Bonjour, je suis fumeuse depuis mes 15 ans (j'en ai 17 actuellement) et même en ayant voulu arrêter plusieurs fois je n'y suis jamais arrivée, je finissais toujours par retomber dedans... j'ai des périodes, des fois je fume beaucoup et d'autres fois beaucoup moins, mais pendant cet été je fumais un paquet par jour, que ce soit au réveil, avant d'aller dormir, avant et après chaque repas, pendant les soirées... c'était tout le temps. J'avais ce sentiment de bien-être en moi, ça me faisait tellement du bien et rien que d'y penser je ressens l'envie de fumer, ça me fait une drôle de sensation dans le ventre, comme si je stressais. J'ai l'impression que je n'arriverai jamais à arrêter. Pleins de personnes de mon entourage essayent de me motiver à arrêter mais moi, je n'y arrive pas, j'ai l'impression que plus le temps passe et moins je suis motivée à arrêter de fumer. Cela fait un mois que je n'ai pas acheté de paquet de cigarettes pour m'aider à moins fumer, mais même en n'ayant plus de paquet ou de briquet j'arrive toujours à trouver une solution pour fumer... que ce soit prendre des cigarettes à ma mère (qui elle est une grosse fumeuse) ou fumer grâce à des amis qui m'en proposent... je suis perdue. D'un côté je pense à ma santé, j'ai envie d'arrêter pour cela car je n'ai pas envie de finir malade, je veux préserver ma santé, mais d'un autre je vois la cigarette comme une chose positive pour moi dans le sens où ça m'accompagne dans la journée, ça me fait du bien, c'est mon moment à moi... Je suis perdue et je suis toujours tentée à fumer. Quand une amie fume à côté de moi je ne peux pas résister à la tentation il faut que je fume aussi, le plus dur pour moi est d'être entouré de fumeurs et de sentir/voir l'odeur de la fumée... alors que quand je suis seule chez moi par exemple je n'ai pas envie, c'est uniquement quand je suis entourée de fumeurs ou quand je fais face à de anciennes habitudes qui me font penser à cela (par exemple si je sors boire un verre en ville, même en étant accompagnée uniquement d'une personne non-fumeuse, je vais avoir envie de fumer car j'ai toujours eu l'habitude de fumer en même temps de boire mon verre, j'aime ça). Merci pour votre compréhension et pour votre aide, Solène
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13905. fatigue post arrêt - Question/Réponse
Bonjour, j ai arrêté de fumer le 28 septembre, seul , avec l aide de pastille a 1 mg a raison d environ 4 pastille par jour. Je fumais environ 5 cigarettes de tabac a rouler par jour mais ma consommation augmentait lors de rencontres amicales. aujourd'hui je soufre beaucoup car je tousse énormément j ai une très très grosse infection des sinus avec fièvre pendant trois jours , j ai les bronches extremements irritées avec de fortes toux grasses la nuit et sèches le jours. Ces toux me fatiguent énormément. Mon test Pcr est négatif donc le virus Covid est écarté. Que puis je faire pour aller mieux? Combien de temps peut durer cette phase d 'expectoration intense? avez vous des exercices de respirations pour calmer cette toux du fumeur? Je suis très fier d avoir arrêté de fumer , je ne suis pas passé par une période de stress significative ni par une compensation quelconque comme la nourriture, mais aujourd'hui je me sens vraiment decouragé de fatigue. Je dors très mal, je travaille mal, je me sens isolé car je suis obligé de rester chez moi. Merci pour votre retour
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13906. Lutter contre un manque TRÈS fort et quasiment PERPÉTUEL. - Question/Réponse
Bonjour. J'ai commencé à fumer (cigarettes industrielles) à 14/15 ans J'en ai 57 aujourd'hui. Depuis mes 22 ans, j'ai tenté 4 ou 5 fois de m'arrêter, sans succès : le plus longtemps que j'ai tenu --> 3 mois. Je consommais environ 20 cig./jour. Depuis environ 5 ans, ma consommation est montée entre 22 et 27 cig./jour. Sous antidépresseur depuis mes 22 ans, placée en retraite (pour invalidité 10 %) à 41 ans, je perçois moins de 830 €/mois ; cette somme étant très insuffisante pour vivre, je suis inscrite à Pôle Emploi (je ne perçois aucune indemnité chômage). Depuis 2 ans et demi, je me retrouve dans un logement social qui, pour moi, est une prison et dans lequel je ne me plais pas du tout (quartier très difficile : drogue, coups de feu, rodéos sauvages, tirs de mortiers, etc) et je n'ai hélas pas la possibilité d'en partir pour l'instant Donc : chômage, finances Sous le seuil de pauvreté, pas de sorties, pas d'amis, pas d'amoureux, pas d'enfants, pas de maison, pas de jardin, pas de voiture, pas de vacances, ni vêtements neufs ni coiffeur, etc. AUCUN plaisir dans ma vie !!! Du coup, entre juin 2021 et janvier 2022, je me suis fait suivre par une infirmière spécialisée dans l'addiction à la cigarette. J'avais réussi à descendre entre 7 et 23 cig/jour tant bien que mal. Sauf que ma mère a failli mourir (3 semaines entre la vie et la mort + 3 semaines encore "sur le fil du rasoir" + 10 jours encore à l'hôpital) et que, lorsqu'elle est rentrée à son domicile, j'ai dû rester presque 1 mois 24h/24 chez elle comme aidante familiale. Et là : catastrophe ! Relations plus qu'houleuses entre nous... et je suis montée entre 32 et 40 cig/jour, crises de larmes chaque jour, au point que je suis rentrée dans ma prison (question de survie !!!). Depuis, j'ai réussi à redescendre entre 20 et 27 cig/jour (sans suivi médical ni substitut), et j'envisage d'essayer une énième fois de cesser la cigarette une bonne fois pour toutes. Seulement voilà : HANTISE du manque PERPÉTUEL (là, je parle de chacune de mes expériences précédentes). À chaque fois, c'est : patchs 16 heures (jusqu'à 75 mg) + 4 à 6 pastilles nicotiniques + un petit peu cigarette électronique + entre 7 et 24 vraies cigarettes chaque jour. Je n 'arrive pas à libérer de cette sal... ! Je ne parviens pas à ne plus y penser. Malgré tous les substituts et la meilleure volonté du monde, un manque TRES INTENSE est là EN PERMANENCE !!! Au secours, SVP. Auriez-vous des conseils, des astuces à me proposer (en plus de ceux et autres que ceux que j'ai pu lire sur le site tabac info service). Merci d'avance pour votre réponse et merci aussi pour l'aide que vous apportez à tous les désespérés de la clope. Cordialement.
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13907. J'ai la solution pour arrêter mais je n'arrive pas à y accéder - Question/Réponse
Bonjour , Je suis une grosse fumeuse et je n'arrive pas du tout à arrêter alors que je ne supporte plus mon addiction au tabac et que ça me reviens trop cher. Je suis sûre d'avoir trouver la solution pour arrêter car j'ai déjà réussie à diminuer grandement avec C'est les Huiles Essentielles en particulier celle de Cèdre de l'Atlas ,de Gingrembe ,de Myrrhe et Patchouli . Le problème est que je n'ai déjà aucune gestion de mes émotions. J'ai déjà essayer de nombreuses fois d'arrêter mais dès que j'ai l'impression de vivre une injustice, une moquerie ,une critique même tout petite ou parfois juste un regard de travers dans la rue j'explose si je n'ai pas ma cigarette au point où je me suis déjà ouvert les veines, ai tout cassée dans un bar ( les miroirs, les tables ,casser la jambe de quelqun ) car je ne gérait plus rien et mon corps réagissait soudainement sans mon cerveau comme si je n'était plus dedans, se mettait à courir tout seul ,à tout casser. J'ai tout essayer pour réussir à gérer ça et suivie tous les conseils possible donnés mais je n'y arrive pas, ça monte comme une boule de feu et ça explose soudainement. Si je n'explose pas contre quelqun je suis totalement ronger de l'intérieur et je finit par tenter de me suicider . Quand je n'ai plus de cigarette je suis capable de tenter réellement de mettre fin à mes jours ,de tabasser quelqun ,de tout casser ou de m'ouvrir violemment les veines Quand je ne le fait pas et que je suis en manque de cigarette ,je m'enfile des tablettes de chocolat entières, plusieurs paquets de gâteau et une fois une énorme tarte aux fruits en quelques minutes à peine Parfois je mange jusqu'à vomir d'un coup. Je ne sais plus comment faire avec la cigarette Je n'arrive pas à gérer par exemple quand j'ai des flash back des 4 viols que j'ai vécu J'ai beau tenter par tous les moyens . Je suis obligée de fumer pour ne pas me jetter par terre ,en me roulant dans tous les sens ,en hurlant ,en pleurant avec une forte tachycardie ou au moins limiter la casse et ne pas m'exploser la tête contre le sol. Svp donnez moi des nouveaux conseils pour y arriver Merci beaucoup !
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13908. Arrêt du tabac en couple et désaccord sur les substitut nicotinique - Question/Réponse
Bonjour, mon conjoint et moi-même avons arrêter de fumer il y a un peu moins de 3 semaines. On étaient pas de gros fumeurs (un 10aine par jour) mais depuis 15ans pour moi et 17 18ans pour lui (nous sommes jeunes mais avons tout les 2 commencer à 13 14ans). Nous avons arrêter du jour au lendemain, sans aide médicale ni substitut nicotinique. Nous sommes actuellement en voyage long en Asie, on s'est dit que c'était le bon moment car nous n'avons pas nos habitudes routinière. Nous avons craquer une 1ere fois à 2 semaines de l'arrêt, moi j'ai craquer une 2ème fois 2 jours après et il m'a fait beaucoup culpabiliser. J'ai du coup le lendemain acheter une vapoteuse jetable me disant que cela m'aiderait à tenir. Pour lui ce n'est pas un soucis d'avoir arrêter sans aide ni substitut, je lui ai demander si il pouvait avoir rdv avec un tabacologue si il le prendrait et m'a dit non, "il suffit de se dire non c'est non". Pour moi c'est une autre histoire, en effet la vape m'aide beaucoup mais il n'est pas d'accord avec ça et me fait beaucoup culpabiliser de vapoter. Il me dit que je remplace une adiction nocive par une autre un peu moins nocive. Je lui ai expliquer qu'on est tous différents face à l'adiction et que chacun arrête à sa manière mais il n'est pas du tout d'accord avec ça. Ça m'embête beaucoup et j'ai entendu que certaines personnes étaient prêt pour l'arret du tabac et d'autres non. Je me demande si c'était le bon moment pour moi ou pas. Je me suis toujours dit que j'aurais besoin d'aide d'une manière ou d'une autre en arrêtant de fumer car j'ai toujours fumer en adorant ça, quand j'étais enfant j'étais déjà très attiré par l'odeur et le geste alors que personne de ma famille de fumait. Je me pose plein de question et me demande ce que vous pensez de la vapoteuse ? Merci de m'avoir lu Cordialement
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13909. Regain d'énergie et frustration - Question/Réponse
Bonjour, Depuis le 13/11/2023, j'ai mis un patch 21 mg/24h d'une certaine marque. Le premier jour, je n'ai pas utilisé d'autres substituts nicotiniques (j'ai des gommes nicotiniques 2mg sans sucre), et le soir, alors que c'était mon anniversaire et que j'ai retrouvé ma famille, j'ai craqué en râlant pendant 3/4 d'heures, ce qui a évidement gâché la soirée pour ma famille : un enfant de 6 ans (=ma principale motivation à arrêter de fumer pour pouvoir profiter de sa présence et le voir grandir et évoluer) et ma femme qui a le même âge que moi. Ce soir là, j'ai essayé différentes techniques de relaxation, comme la respiration profonde, mais je n'y arrivais pas, j'avais le souffle court et je ne respirait qu'avec le haut de ma cage thoracique, comme si je devais faire face à une attaque. Sur le moment mon souhait était de fuir, mais là nuit tombée, je n'avais personne chez qui aller, et je ne voulais pas tourner en rond dans le quartier ou j'habite avec une telle émotion de colère et de frustration. Alors j'ai essayé de boire un grand verre d'eau = rien, de m'enfermer dans ma chambre assis sur le lit = rien. Alors j'ai crié pour déballer les choses qui me mettent en colère et que d'habitude "j'étouffe" en allumant une cigarette ou en vapotant sans m'arrêter pendant une dizaine de minutes (e-liquide + 6 mg de nicotine). Or je ne possède pas de balcon où je peux être sans vis à vis de mes voisins et comme je n'ai pas de relations harmonieuses avec mes voisins que je ne connais pas et qui ne m'intéressent pas, je préfère ne pas m'exposer à leur vue sur mon maigre balcon derrière ma porte fenêtre. Cela m'est déjà arrivé et mon voisin m'a adressé la parole pour me parler de ses passions qui ne m'intéressent pas, bien que je saches que ce n'est pas un mauvais bougre, même si il est fumeur et que sa vie n'est pas la mienne. Or avec la canicule de cet été, les fenêtres étant ouvertes, je n'ai pas pû faire autrement que d'expliquer à mon fils de 6 ans que fumer est une maladie qui s'appelle le tabagisme, et je lui explique qu'il ne doit pas respirer la fumée des gens qui fument, qui qu'ils soient, même si ce sont des parents d'élèves qu'il connaît et même si ce sont des membres de la famille, car respirer de la fumée, quelle qu'elle soit est mauvais pour la santé. Or le soir, ou le week-end, lorsque j'aere, je sent l'odeur de tabac froid de mes voisins et je dis à l'attention de mon fils : ça sent mauvais le tabac froid ! Mais ma femme qui a été fumeuse, ça l'insupporte que je dise ça et me le fait savoir en disant que chacun fait ce qu'il veut ! Phrase à laquelle je réponds "ce qu'il peut !" Alors je ne me sent pas assez soutenu et de façon irrationnelle je ressent un sentiment d'abandon qui m'angoisse encore plus...
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13910. Autisme et arrêt du tabac - Question/Réponse
Bonjour, Je fume depuis 20 ans environ. J’ai un pré-diagnostic de trouble de l’autisme, et je me demandais s’il y avait des particularités chez les personnes autistes. Il y a notamment la perception du goût et de l’odorat qui peuvent être modifiés. Si je ne fume pas pendant 24h par exemple, les odeurs d’égout en ville et l’odeur du tabac des autres me gêne. Après avoir arrêté l’alcool en début d’année, et en restaurant ma flore intestinale, j’ai perdu 10kg et retrouvé mon poids d’il y a 20 ans. Mais avec une perte d’appétit actuellement, et une tendance à encore maigrir, je me dis qu’arrêter le tabac serait utile. La modification du goût et de l’odorat risque de me gêner par moment mais aussi de m’aider ailleurs, ici pour garder un poids correct. Ayant de l’éco-anxiete liée au réchauffement climatique, et aussi depuis le 7 octobre un traumatisme avec les attaques en Israël (étant proche des valeurs du festival de psytrance qui a été massacré), j’ai des insomnies qui deviennent trop gênantes. Je me dis que quitte à ne pas dormir, ou presque, autant savoir pourquoi. Tout en prenant du magnésium (bisglycinate pour une firte assimilation), de la vitamine D, des vitamines du groupe B, de la coenzyme Q10, de l’aubépine et de l’agripaume pour diminuer l’anxiété et aider le système cardiovasculaire à se réparer, de la lavande ou de la mélisse, ainsi que des bains chauds. Y-a-t-il d’autres vitamines, minéraux, plantes ou techniques naturelles pour aider à se relaxer ? Depuis mon déménagement loin de Paris, je ne fume plus que dehors, si j’arrive à continuer d’arrêter, j’essayerais de transformer ces pauses en marches. Si les envies deviennent trop fortes, faut-il se permettre un écart en limitant sa consommation à une cigarette chaque soir par exemple ? Je ne pense pas vraiment être accro à la nicotine mais au geste et aux additifs. Est-ce que vaporiser une plante régulièrement à la place (aspérule odorante par exemple) peut aider à se défaire de cela ? Est-ce que le cannabidiol (CBD) peut aider ou non (en huile ou en vaporisation) ? Peut-être que certains traitements pour les autistes n’en sont qu’aux premières études, mais je suis prêt à prendre quelques risques pour arrêter. J’imagine que vous ne pourrez pas répondre à tout tout de suite, n’hésitez pas à faire de premières réponses, puis la suite par email par exemple. En attendant vos premiers conseils, je vous souhaite une bonne journée.