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Bonjour je suis extrêmement fatiguée depuis plusieurs mois. J ai fais des examens médicaux il n y a rien de spécial. Quand j y pense cette fatigue s est installée à l arrêt du tabac après une grosse période de constipation. Je suis passée à la vapoteuse. Je fumais environ 1 paquet de cigarette (20 cigarettes) par jour il y a 6 mois. Depuis je vapote plutôt beaucoup. Quand je suis chez moi ou en voiture quasi tout le temps. Est ce que cette fatigue peut venir de la cigarette électronique ( un composant) ou trop de nicotine ? Merci pour votre retour.

Bonjour, je vous préviens c'est un peu compliqué. J'ai arrêté de fumer une première fois il y a environ un an et demi, j'ai tenu bien six mois. On venait de diagnostiquer une potentielle tumeur a mon père (qui à l'arrivé était une fausse alerte), et étant hypocondriaques (je suis suivi pour ça), j'ai évidemment commencer à paniquer méchamment. J'ai arrêté dans une période très compliquée qui ne s'y prêtait pas du tout : examens de fin de formation, peu d'heures de sommeil à cause des études, père qui tombe malade et j'avais encore quelques cartouches chez moi d'un voyage. Donc arrêter à ce moment là, sans substitu du jour au lendemain avec une quarantaine de paquet chez sois, autant vous dire qu' il fallait vraiment que j'ai peur (je fumais environ un paquet de tabac à rouler brun tous les deux ou trois jours). A ce moment là je faisais des crises d'angoisse très régulièrement ainsi que des crises d'épilepsie (un autre de mes problèmes, je suis également suivi pour cela), j'ai commencé mon suivi psychiatrique à ce moment là. Après avoir été mis sous neuroleptiques et anti dépresseur, j'ai énormément soufflé, j'allais beaucoup mieux et je me suis vraiment senti libéré d'un poids. J'étais dans un tel délire hypocondriaque qui venait de se lever que comme je n'avais plus peur pour ma santé, je me suis remis à fumer (je sais c'est très con). Aujourd'hui je suis beaucoup plus stabilisé niveau psy, j'ai fais un scanner des poumons que mon médecin m'a prescrit juste pour calmer mon hypocondrie qui est revenu nickel. Je me remet à arrêter pour des questions principalement financières, je pourrais attendre quelque jours pour retourner en acheter mais je préfère arrêter totalement. Je me demande comment faire pour ne pas replonger étant donné que paradoxalement c'est une angoisse (véritablement malsaine et qui me pourrit la vie) qui m'a fait tenir, et le bien être qui devrait être positif qui m'a fait rechuter. Est ce que je dois réduire les anti dépresseur ou les arrêter complètement, j'imagine que non et pour mon psy c'est une très mauvaise idée mais c'est ce qui à marché la première fois. J'ajoute également aimer le tabac comme produit comme d'autre aime le vin, et avoir déjà acheté des cigares a trois chiffres quand je pouvais me le permettre, j'ai aussi l'impression de fermer la porte à un véritable plaisir, qui, je pense, s'il est consommé modérément (pour les cigares on n'avale pas la fumée) ne doit pas être plus dangereux que l'œnologie. J'aimerai bien pouvoir continuer les dégustation de tabac sans la cigarette. Voilà désolé pour la taille de ma question. Merci à vous et bonne journée

Bonjour , je fume depuis un certain temps mais de façon assez liée à l’émotionnel. Je suis sportive , j’ai commencé à fumé durant mes études puis lorsque j’ai travaillé j’ai conserver la cigarette en afterwork ou surtout lorsque je sors avec des amis boire un verre. Cela dit dès qu’il y a une période émotionnellement plus rude il m’arrive de fumer deux fois plus. Pour le coup j’avais déjà arrêté de fumer et je ne conservais la cigarette que lors de grand événement festif, cela dit des problèmes familiaux m’ont fait réaugmenter la consommation. J’avais pour objectif d’améliorer mes performances sportives en supprimant définitivement la cigarette pour 2026. Ma consommation est de l’ordre de 3/4 Max cigarettes par jours et il s’avère que là j’ai eu une sinusite et le Covid donc je n’ai pas fumé étant malade . Je suis repassé sur une CE depuis hier car je sentais en avoir envie car je ne peux pas aller au sport ou autre. Est-il nécessaire de mettre un patch alors que je suis capable de ne pas fumer des que ça impact ma santé ou si je suis avec qqln qui ne fume pas. Et sinon où puis je trouver en substitut nicotinique l’inhalateur ? Car en général il y a des gommes ou pastille disponible mais je trouve leur utilisation trop longue et au final plus frustrante qu’une CE à 3 mg

J'ai fait ce geste au moins une bonne dizaine de fois des dizaines d'euros à la poubelle et des centaines de milliers brûlées... fumées... Je n'ai plus de souffle plus de poumons, je ressemble à une vieille de 90ans mon corps n'est plus le mien... J'ai 51 ans, plus précisément je suis dans ma 52eme année et je fume depuis 41 ans. Ce matin encore je suis allée me chercher du tabac et un paquet de cigarettes. Je viens de rouler 8 cigarette et il reste 19 blondes dans le paquet. Je les garde sachant qu'elles seront fumées demain, enfin dans quelques heures il est 00h22. Cela fait des mois , plus d'un an que chaque soir j'y pense que chaque jour j'en souffre. Les chaleurs de l'été sont devenues un enfer , je ne transpire pas je ruisselle, je meurs sous le soleil de l'été, je ne peux pas faire d'effort important je me blesse sans cesse, m'a libido c'est eteinte d'effort physique qui me sont devenues insubmersible... insupportable. Le vent, l'air de l'hiver froid me brûle, je m'étouffe à chaque bouffée et pourtant je les rallume. Je crève à petit feu de cette drogue qui est la mienne. A cet instant encore je ne sais pas comment m'en défaire. Je suis juste pleinement conscientes des douleurs physiques qui sont les miennes de cette sinusite infectieuse dont je n'arrive pas à me défaire de cette bronchite chronique qui m'accompagne depuis des années l'hiver. J'ai peur de ce monde s'en le soutien de mes cigarettes, sans leurs compagnies qui n'exigent rien de moi qu'un peu d'argent et d'une flamme pour qu'à chaque moment elles soient auprès de moi. Je suis terrorisée par ce manque, par cette obsession mentale quelle représente pour moi. J'ai divorcée deux fois, deux départs à zéro, des combats ou elles ont toujours été près de moi. Des joies, avec mon plus grand bonheur de vie qui s'appelle François et que j'abime également par cette Stéphanie drogués et fatiguée de l'usure du tabac. Elles sont m'ont quotidien, elles ne sont gérer que par moi, et cela m'effraie. Par moment, mon cerveau n'est obsédé que par cela, les restrictions actuelles pour les fumeurs sont devenues un stresse une peur un handicap car je ne sais pas gérer, enfin me débarrasser de cette obsession de fumer. Je pense à me faire hospitaliser, mais j'ai peur de l'hôpital. J'ai peur de ce combat qui contrairement à tous les autres que j'ai pu mener dans ma vie et que j'ai gagner par rage force et volonté j'ai peur de celui là, j'ai peur de perdre une partie de moi. J'ai peur de ne pas en avoir la force mentale. Et pourtant si je ne le fais pas, si je n'arrête pas de fumer je ne retrouverai pas je ne retrouverai plus l'énergie qui m'animait encore il y a quelques petites années. Ce n'est pas la mort qui m'inquiète, c'est juste de ne pas pouvoir être celle que j'ai été et que le tabac à détruit jour après jour, cigarette par cigarette, et toujours plus de cigarettes encore ces derniers mois accompagnant mes échecs professionnels qui se succèdent depuis un mauvais choix, j'ai cherché mais je n'ai pas trouvé d'interlocuteur pour m'accompagner dans ce combat. Comme les autres il n'y a que moi, pour franchir ce cap et je ne vois pas encore où poser mes pas pour franchir cette route jonchée de mégot de cendre de cadavre de moi. Je ne sais pas où trouver cette volonté là, alors que pour la vie je n'en manque pas. C'est une lettre à moi même à cette épave que je suis ou du moins je me ressens ainsi. Je ne dors pas où très mal depuis des mois. J'ai encore perdu un job mais je sais aussi que tristesse ou joie ne sont que des excuses à maintenir le rythme effréné de toutes ces clopes que j'allume et consume. Que je crache chaque jour et qui ne m'arrête pas. Je cherche la force, la clé de ma propre colère envers moi pour réussir à franchir ce pas. Je garde de semaine en semaine les reliquats des blagues de tabacs. Je vois ma folie, mon addiction rire de moi et la honte que je ressens de plus en plus a me sentir incapable de freiner de stopper cela. Je veux arrêter de fumer mais comment, comment faire pour réussir cela...

Bonsoir, j'ai décidée il y a plus d'un mois que j'arrêterai de fumer lorsque ma cartouche serait terminée. Je fumais en moyenne une bonne dizaine de cigarettes par jour. Depuis ma décision, j'ai limité ma consommation à 4/5 par jour, 6 en soirée. Depuis ce we,je suis passée à 2 . Il ne me reste que 2 cigarettes... Depuis ce we j'ai vraiment très faim, je ne sais pas si c'est lié. Quel dosage de traitement dois je me faire prescrire avec des patch ou chewing-gum... quel dosage? Je vous remercie pour votre aide

Bonjour ou bonsoir, Voilà que j'arrive au terme de mon 2ème jour sans fumer, avec patch à 21mg et spray, je me sens à peine en résistance à l'envie de fumer. Je n'ai jamais aussi bien vécu l'arrêt du tabac, je suis fière de moi et quelque peu confiante. Seulement voilà, j'ai démarré hier en l'absence de mon conjoint fumeur. Il est rentré ce soir et j'appréhende la soirée... Et même s'il ira probablement fumer dehors j'ai peur de craquer... Pour ce soir je pense pouvoir gérer avec le spray mais je crains qu'à la longue cela ne suffise plus... Quels conseils et/ou informations auriez vous à me donner pour ne pas craquer, ni devenir ultra intolérante à son tabagisme? Je veux pouvoir tenir! Après plus de 20 ans de consommation il est temps que ça s'arrête (à 34 ans ça fait les 2/3 de ma vie!) mais pas au détriment de mon couple... Comment vivre mon sevrage sereinement sans endommagé mon couple? En vous remerciant par avance de votre réponse.

Bonjour, Je vais accoucher dans 3 semaines et je vapote depuis le début de ma grossesse. Avant j'étais une grosse fumeuse. J ai diminué la nicotine petit à petit pour être à 3mg, mais je vapote beaucoup. On m'a dit d'arrêter la nicotine 2 semaines avant la naissance pour sevrer le bébé. Ainsi je me questionne à comment éviter au maximum les désagréments au bébé et ménager mon stress, sachant que je ne souhaite pas après la naissance arrêter de vapoter, je ne suis pas motivée n'y prête. - à la naissance le bébé aura-t-il un symptôme de manque? Comment cela se manifeste? -si j'allaite et je vapote, aura-t-il toujours de la nicotine qui passera dans le lait? -de ce fait est-il utile d'arrêter la nicotine ( mais pas le vapotage, je me sens pas capable maintenant) si lors de l'allaitement je vapote avec nicotine? -quelle est selon vous la meillleure stratégie pour allier le confort et la santé de bébé et de maman? Par avance je vous remercie pour votre réponse. Cordialement. Julie

Bonjour Je m'inscris à l'instant. J'ai arrêté il y a 4 jours. Je fume non stop depuis l'âge de 15 ans, soit depuis 47 ans avec 2/3 tentatives d'arrêt de très courte durée. Au cours du dernier essai arrêt il y a 10 ans ma femme elle a réussi et a tenu. J'ai la chance-enfin avais- d'avoir une constitution solide mais là je viens d'avoir une très sérieuse alerte. Je reviens des urgences suite à une bronchite très compliquée par une crise d'asthme. J'ai une chance énorme car les analyses poussées et le scanner du poumon n'ont rien montré de grave en terme de lésions ou de chimie du sang. Bien sur les poumons sont bien "tapissés", les bronchites qui devenaient plus fréquentes (2 par an) et chaque fois plus douloureuses (toux) vont devenir très chroniques et avec l'asthme je joue plus !!! J'ai fermement décidé d'arrêter. Mon toubib m'envoie chez un pneumologue des que je serai remis de cette bronchite (compliquée en plus par une allergie à la pénicilline). Je me suis équipé de patchs et pastilles hier, la bronchite faiblissant l'envie me revient. Je fume aussi du cannabis en très faible quantité un vraiment petit joint d'herbe (que je fais pousser), le soir avant de me coucher, mais régulièrement et depuis plusieurs années. Je n'ai pas refume de cannabis non plus depuis cette maladie. Je ne refumerai plus de tabac et ça m'ennuie de devoir abandonner cette habitude (en terme de détente légère et non chimique) Bon je suis très bavard. J'ai deux questions : quand j'écris ce type de message aïs je toujours affaire au même lecteur ? Puis je compter sur une complète confidentialité ? D'avance, merci pour votre aide Cordialement Philippe

Bonjour, Je vous contacte car j’ai décidé d’arreter de fumer depuis septembre 2016 suite à une pratique du sport plus intensive ( course a pied, fitness..). Malheureusement depuis tout ce temps je n’ai jamais réussi à arrêter pendant les soirées ( combo alcool + cigarettes), étant étudiante, beaucoup de mes amis fument aussi. Je ne fume pas beaucoup (environ 3-4 cigarettes en moyenne) mais cela est répétitif et presque toutes les semaines. J’ai donc l’impression d’etre Encore dépendante alors que durant la journée etc je n’ai jamais envie bien au contraire. J’ai vraiment la volonté de me détacher complètement de la cigarette et réussir à passer des soirées entre amis sans. Je me dis que ćest vraiment dommage d’avoir arrêter 80% du temps surtout que je m’en veux à chaque fois le lendemain quand je Sais que j’ai fumé... merci d’avance pour votre aide :-)